Il subsiste, face au logis, les traces d'un moulin à eau (édifié au XVIe siècle ?), et dont nous pouvons, s'il a été construit en même temps que le logis principal, retrouver un exemple dans les Dix livres d'architecture de VITRUVE, 1558 :
Pour en savoir plus...
http://www.unicaen.fr/ersam/machines.php?fichier=moulinEau
Si ce moulin est vraiment originel, les tenanciers devaient avoir l'obligation d'aller faire moudre leur blé au moulin seigneurial, contre redevance, à moins qu'il ne s'agisse d'un moulin à foulon (textile), comme celui du Petit Gaumier, à Cugand (Vendée), sur la Sèvre nantaise. Le seul et unique en France encore visible : http://www.vendee-guide.co.uk/moulin-a-foulon.htmhttp://www.vendee-guide.co.uk/moulin-a-foulon.htm
Ce moulin devait être un édifice modeste doté d'une paire de meules à grain, dont la tournante était probablement mue par un arbre vertical à lanterne, lui-même entraîné par l’arbre horizontal à rouet de la roue à aubes.
On constate sur les plans du cadastre napoléonien (1841) l'existence d'un bassin de retenue situé directement en amont de l’édifice, et qui devait correspondre à une "escluse". Un bief, desservant un autre moulin situé en amont, venait alimenter cette retenue.
Pour en savoir plus...
http://www.unicaen.fr/ersam/machines.php?fichier=moulinEau
Si ce moulin est vraiment originel, les tenanciers devaient avoir l'obligation d'aller faire moudre leur blé au moulin seigneurial, contre redevance, à moins qu'il ne s'agisse d'un moulin à foulon (textile), comme celui du Petit Gaumier, à Cugand (Vendée), sur la Sèvre nantaise. Le seul et unique en France encore visible : http://www.vendee-guide.co.uk/moulin-a-foulon.htmhttp://www.vendee-guide.co.uk/moulin-a-foulon.htm
Ce moulin devait être un édifice modeste doté d'une paire de meules à grain, dont la tournante était probablement mue par un arbre vertical à lanterne, lui-même entraîné par l’arbre horizontal à rouet de la roue à aubes.
On constate sur les plans du cadastre napoléonien (1841) l'existence d'un bassin de retenue situé directement en amont de l’édifice, et qui devait correspondre à une "escluse". Un bief, desservant un autre moulin situé en amont, venait alimenter cette retenue.
Le dernier meunier Fridolin AIRAUD exercera le métier entre 1911 et 1925 au plus tard. Seul le bief subsiste encore aujourd'hui.
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